Laverda 750 SFC |
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Constructeur : Laverda Dates de production | 1972 - 1976 | Production totale | 564 | Type | Sportive | Moteur(s) | bicylindre en ligne, 4 temps refroidi par air et huile | | | Distribution | 1 act, 2 soupapes par cylindre | Cylindrée (alésage x course) | 743,92 cm³ (74 x 80 mm) | Puissance | 68 ch à 7 500 tr/min | | | Alimentation | 2 carburateurs Dell'Orto ∅ 36 mm | Embrayage | multidisque en bain d'huile | Boîte de vitesses | à 5 rapports | Transmission | par chaîne | Cadre | tubulaire, moteur suspendu | Suspension avant (débattement) | fourche télescopique ∅ 38 mm | Suspension arrière (débattement) | 2 combinés (90 mm) | Frein avant | tambour double came | Frein arrière | tambour double came | Roue avant | 18", 110 | Roue arrière | 18", 120 | | | Hauteur de selle | 750 mm | Poids à sec | 208 kg | Réservoir (réserve) | 23 ℓ | Vitesse maximale | 220 km/h | | |
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La 750 SFC est un modèle de Motocyclette, produit par la marque italienne Laverda.
Dérivée de la 750 SF (Super Freni), la 750 SFC (Super Freni Competizion) est un modèle compétition-client censé doper les ventes de la SF.
Elle est lancée sur le marché en 1972, mais elle commence à courir en 1971, année où elle gagne toutes les courses d'endurance, sauf le Bol d'or. Elle termine néanmoins deuxième.
Le moteur est retravaillé par rapport à la SF. Les soupapes sont plus grosses, certaines pièces sont polies. Plus de 500 pièces seraient différentes.
La partie cycle se compose d'un cadre tubulaire sur lequel est suspendu le moteur. La fourche Ceriani assure un travail correct. Le freinage est assuré par des tambours double came fabriqués par Laverda. Ils seront remplacés par des Ceriani en 1972. La dernière évolution de la SFC, appelée electronica, sort en 1975. Les freins à tambour sont remplacés par trois disques Brembo en fonte de 280 mm de diamètre, pincés par des étriers simple piston en 1975. Des jantes à bâtons Laverda remplace les Borani à rayons.
On note l'absence de compteur de vitesse. Seul un compte-tours équipe le tableau de bord. Le rétroviseur n'est là que pour l'homologation et, comme les clignotants, il est facilement démontable pour passer de la route au circuit.